Barillon, un quadragénaire, se réjouit à l’idée d’épouser Valentine, qui a 20 ans de moins que lui…Pensez-vous ! Mais, quand il se retrouve, officiellement marié à sa belle-mère (madame Jambart) à cause d’un employé de mairie aviné, il ne fait plus vraiment la même tête. La redoutable Madame Jambart, aux sens exacerbés par deux années de veuvage,
retrouve une fièvre amoureuse qu’elle croyait à jamais perdue. Elle refuse tout net de divorcer de ce mari tombé du ciel et la situation fait le bonheur du jeune Surcouf, amoureux de Valentine… Jusqu’au jour où le premier mari de Madame Jambart, que l’on croyait mort en mer, revient… Le mari, la femme, l'amant c’est un trio intemporel et une source d’inspiration sans fin pour Georges Feydeau... pour notre plus grand plaisir.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres !